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Quoi de plus romantique que d'offrir des roses "ÉTERNELLES"? Elles se conservent grâce à un mystérieux mélange chimique...

Quoi de plus romantique que d'offrir des roses "ÉTERNELLES"? Elles se conservent grâce à un mystérieux mélange chimique...
©RTL-TVI
 
 

Ce mercredi soir, après le RTL INFO 19H, le magazine Coûte que Coûte sera consacré au commerce des roses à la veille de la Saint-Valentin. Il y en a pour tous les budgets et pour tous les goûts.

La Saint-Valentin est une journée juteuse pour les fleuristes qui réalisent, à cette occasion, une bonne partie de leur chiffre d'affaires annuel. Les roses s'arrachent et les prix flambent. Pourquoi cette fleur est-elle plus chère qu'en temps normal? D'où viennent-elles, comment sont-elles produites, et quel est leur prix de revient exact? Pourquoi sont-elles beaucoup plus chères chez le fleuriste qu'en supermarché? Autant de questions auxquelles le magazine Coûte que coûte tentera de répondre ce soir.


Des roses qui ne fanent jamais

Connaissez-vous les roses éternelles? Elles ne se fanent jamais. On les trouve sous cloche, avec ou sans tige ou encore agrémentées de bijoux. C'est une rose naturelle, mais qui n'en est pas tout à fait une: elle pourrait se conserver 10 ans grâce à un mystérieux mélange chimique.
Pour la découvrir, il faut s'envoler vers l'Equateur, en Amérique du Sud. Un acheteur français de fleurs fraîches explique: "On cherche des boutons très robustes, qui s'ouvrent parfaitement, qui soient quand même assez gros pour supporter le processus de préservation".


Une séance de "torture" pour les boutons de roses

Ces boutons de roses fraîches sont destinés à la vie éternelle. Un produit sur lequel Jean Philippe et ses associés ont tout misé ces dernières années. Plus de la moitié de leur activité est désormais consacrée à la rose dite préservée. Alors l'année dernière, Jean-Philippe a investi dans un atelier de fabrication. "Nous sommes dans l'unité de production, les roses fraîches vont rester là deux ou trois heures, pour hydratation, et ensuite elles vont entrer dans le process".

Ici, pas de grand frigo ni de course contre la montre. Juste quelques ouvriers pour arracher la tige après la récolte. Les boutons sont attachés à une grille. Une séance de "torture" peut maintenant commencer dans ces cuves. Cela débute par un plongeon pour le moins étonnant…
Coûte que coûte, c'est le mercredi à 19H45 sur RTL-TVI.


 

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