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Jan Jambon charge l'officier de liaison à Ankara: "C’est excessif et pas très digne"

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Le ministre de l'Intérieur, Jan Jambon, a pointé du doigt vendredi le travail de l'officier de liaison de la police fédérale belge à Istanbul, en Turquie. Informé de l'interpellation du djihadiste présumé Ibrahim El Bakraoui et par la suite de son passé criminel, il a tardé à réagir, estime le ministre qui a annoncé l'ouverture d'une procédure disciplinaire contre cet agent. Dans l'émission 'C'est pas tous les jours dimanche', le journaliste Christophe Giltay revient sur les explications du ministre de l'Intérieur, Jan Jambon, à la Chambre:

"Ce n’est pas la peine d’aller chercher le lampiste. S’il y a un dysfonctionnement à un niveau dans une entreprise, c’est toujours le chef qui est considéré comme le responsable. Et ce n’est donc pas cet officier de liaison à Ankara qui est un des multiples officiers de liaison de la police belge. C’est la hiérarchie qui assume. Généralement la règle c’est qu’on couvre ses subordonnées. Là, non seulement il ne couvre pas ses subordonnés mais en plus il le charge. En plus, on connait son nom, on sait où il habite, etc. C’est excessif et pas très digne."


 

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