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Voici les prénoms qui ont le plus été donnés l'année dernière en Belgique

Voici les prénoms qui ont le plus été donnés l'année dernière en Belgique
 
 

Chaque année, un top des prénoms donnés aux nouveaux-nés est établi pour la Belgique. Voici ceux de l'année 2015 et les différences entre les régions.

Emma occupait en 2015 la tête des prénoms féminins préférés en Belgique pour le treizième année consécutive alors que Louis était le prénom le plus répandu pour la troisième année de suite chez les garçons, ressort-il mercredi des données publiées par la DG Statistique - Statistics Belgium du SPF Economie. Les prénoms varient selon les régions et de nouveaux apparaissent chaque année.

Et les autres?

Chez les filles, Emma et Louise sont restés en 2015 les prénoms préférés des Belges comme en 2014. Olivia accroche la troisième place du podium. Elise, Alice, Juliette, Mila, Lucie, Marie et Camille complètent le top 10. Chez les garçons, Louis est talonné par Arthur et Noah. Lucas, 4ème, sort du top 3 pour la première fois depuis 2007. Liam, Adam, Victor, Jules, Mohamed et Nathan suivent.

Wallonie

Le top 10 varie fortement d'une région à l'autre. Ainsi, la Flandre et la Wallonie n'ont que deux prénoms masculins en commun (Noah et Arthur) et trois pour les filles (Louise, Olivia et Emma). En Wallonie, Louis, Hugo, Nathan, Noah et Gabriel sont les prénoms favoris, tandis que Léa, Lucie, Alice, Emma, Chloé sont les prénoms féminins les plus donnés.

Bruxelles

A Bruxelles, les prénoms les plus populaires chez les garçons sont Adam, Mohamed, Gabriel, Rayan et David. Chez les filles, les prénoms qui occupent le haut du classement sont Nour, Lina, Sofia, Sara, Yasmine.

Flandre

En Flandre, ce sont Louise et Lucas qui ont eu la faveur des parents. En l'espace de 20 ans, le nombre de prénoms différents a augmenté de 62% chez les filles et de 66% chez les garçons, révèle la DG Statistique - Statistics Belgium. Sur la même période, le nombre de fois qu'un prénom a été donné en moyenne a par ailleurs baissé d'un tiers environ tant chez les filles (-33%) que chez les garçons (-34%). Les chiffres du SPF Economie sont basés sur les données du registre national.


 

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