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Gare aux arnaques aux kots sur internet: voici comment éviter de tomber dans le panneau

Gare aux arnaques aux kots sur internet: voici comment éviter de tomber dans le panneau
 
 

Attention aux arnaques aux petites annonces immobilières sur internet. Des offres trop belles pour être honnêtes, mais qui n'empêchent pas plus d'un de tomber dans le panneau. C'est le cas notamment des étudiants qui sont à la recherche en ce moment d'un kot à louer.

Avec la rentrée qui approche pour les étudiants, c'est aussi souvent le moment de se mettre à la recherche d'un kot. Ce qui ressemble parfois à un parcours du combattant. D'autant qu’en ce domaine, il faut se méfier des arnaques, notamment dans les petites annonces sur internet.


Une garantie à verser

Vous êtes un étudiant à la recherche d’un appartement, la bonne affaire se présente. Un bel et grand appartement pas cher. Idéal pour une collocation. Au moment de prendre contact avec le propriétaire, petit problème. Olivier Bogaert, commissaire de la police fédérale, au micro de Bernard Lobet pour Bel RTL: "Le soi-disant propriétaire explique qu’il est fonctionnaire européen, qu’il a dû rentrer dans son pays et qu’il met ce logement en location. Mais comme il est à l’étranger, s’il revient en Belgique, il faut lui verser une garantie pour qu’il ait la certitude que vous êtes au rendez-vous le jour de la visite."


"Quand une affaire parait trop belle, c’est souvent qu’il y a un problème"

La somme, un voire deux mois de loyers, est à verser la société de transferts de fonds, Western Union. C’est à ce moment qu’il faut se méfier. Patrick Rousseau, d’Immoweb: "La banque à l’étranger à une carte d’identité avec toutes les informations. Avec Western Union, il est possible de transférer de l’argent de manière anonyme et partout dans le monde." Après avoir envoyé l’argent que vous ne reverrez jamais, impossible de mettre la main sur le propriétaire, d’où ces quelques précieux conseils. "Quand une affaire parait trop belle, c’est souvent qu’il y a un problème. Évitez dans tous les cas de faire des paiements sans avoir vu le bien", ajoute Olivier Bogaert.


 

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