Sur un parking d’autoroutes, entre deux clients, Yvan Leclercq le directeur d’une société de compléments alimentaires vérifie ses colis. Il est en contact constant avec les pharmacies et les patients pour livrer ses produits en temps réel. "On travaille avec bpost, mais là, depuis quelques jours, ce n’est plus possible de travailler avec bpost, ça ne marche pas, il n’y a plus rien qui fonctionne. Ils ont eu l’amabilité de nous envoyer des mails pour nous expliquer qu’ils faisaient tout le nécessaire pour récupérer le retard accumulé, mais malheureusement, il n’y a rien qui fonctionne".
Depuis 10 jours, yves est sur son ordinateur et sur la route. Le patron est devenu livreur deux jours par semaine, de 13h à 19h, il sillonne la Belgique: "C’est un coût supplémentaire en termes de trajet, en termes de temps alloué à cet exercice, donc oui, ça a un coût. Par contre, on a reçu la facture de bpost, ça c’est clair, elle est arrivée à temps".
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