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Tensions au MR: Georges-Louis Bouchez devrait rester président du parti

  • Tensions au MR: la gouvernance du MR va être réorganisée

  • Tensions au MR: Georges-Louis Bouchez reste président pour l''instant

 
 
 

Les éminences du MR se sont retrouvées lundi matin au siège du parti pour leur Bureau politique. Au centre des discussions: la gouvernance du parti et plus particulièrement le sort du président, Georges-Louis Bouchez, sévèrement contesté après l'annonce des nominations au gouvernement fédéral et un remaniement avorté au gouvernement wallon. Tous plaidaient à tout le moins pour une plus grande collégialité. Selon toutes vraisemblances, Georges-Louis Bouchez devrait rester président du MR. 

Il reviendra aux parlementaires du MR de se prononcer définitivement, ce lundi soir (21h), au cours d'une réunion de l'intergroupe parlementaire, sur la façon d'organiser à l'avenir la gouvernance du parti, ont indiqué lundi après-midi plusieurs mandataires à la sortie du Bureau politique du parti. "On s'est dit les choses en face, parfois de manière dure", a notamment expliqué le ministre wallon du Budget, Jean-Luc Crucke, épinglant la nécessité de mettre fin à l'"hyperprésidence". "Il y a une équipe, pas un homme ou une femme mais des hommes et des femmes".

La "dernière chance"

Le parti réunira à 21h00 l'ensemble de ses parlementaires -"qui sont aussi en première ligne pour relayer les préoccupations des militants et sympathisants"- afin de leur permettre de s'exprimer. A l'issue de la réunion, la proposition leur sera soumise "afin de l'enrichir de leur expertise et de se prononcer à son sujet", précise le communiqué.

La discrétion était de mise au sujet de cette proposition. Le président actuel, Georges-Louis Bouchez, resterait en place mais la collégialité serait renforcée, apprenait-on à bonne source, qui précisait qu'il s'agissait de la "dernière chance" de l'intéressé.

Les éminences du MR se sont retrouvées lundi matin au siège du parti. Au centre des discussions: la gouvernance et plus particulièrement le sort du président, Georges-Louis Bouchez, sévèrement contesté après l'annonce des nominations au gouvernement fédéral et un remaniement avorté au gouvernement wallon.


 

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